La tête et les jambes
Non je vais pas vous parler d'un vieux jeu des années 80, mais de la notion de mental en course à pied.
Je m'en suis rendue compte à mes dépends lors de ma séance de fractionné d'hier, le mental c'est primordial dans le sport.
En effet je devais faire, pour respecter mon plan, 4x1000m à 85%de VMA....Alors autant le fractionné court ou mi-long je connaissais autant là c'était plongeon en eaux troubles....Et....paf....dans la tête le fractionné long j'ai lamentablement foiré ma séance!
En en rediscutant avec mon chéri, je comprend qu'il me manque quelque chose: le mental!
Sur du fractionné court (30/30 par exemple) pas besoin ou moins en tout cas, il suffit de courir vite sans réfléchir et le "relâchement" arrive relativement tôt (enfin c'est ma façon de vivre le truc!).
En compet', j'ai le mental "facile", l'imagerie imaginaire se met en route: la fierté de mes filles à l'arrivée, la bonne bière ou le resto sympa qui suivront suffisent à faire avancer mes jambes!
Mais à l'entrainement, sur ce genre de séance, c'est autre chose surtout quand la seule satisfaction à mon retour sera un en-cas avalé vite fait avant de retourner au travail....
Je sais que pour progresser il faut que j'apprenne à me "faire mal" car quand le mental n'est pas là, bien sûr le corps ne suit pas, l'impression d'avoir un poids à chaque jambes et du coup l'impression d'être un boulet pour ceux avec qui je cours.
Et au final, une fin de séance en étant déçue et sans avoir éprouver du plaisir en courant...
Et vous c'est quoi vos astuces pour survivre à ces séances et pour vous forger un mental de winner?
Je m'en suis rendue compte à mes dépends lors de ma séance de fractionné d'hier, le mental c'est primordial dans le sport.
En effet je devais faire, pour respecter mon plan, 4x1000m à 85%de VMA....Alors autant le fractionné court ou mi-long je connaissais autant là c'était plongeon en eaux troubles....Et....paf....dans la tête le fractionné long j'ai lamentablement foiré ma séance!
En en rediscutant avec mon chéri, je comprend qu'il me manque quelque chose: le mental!
Sur du fractionné court (30/30 par exemple) pas besoin ou moins en tout cas, il suffit de courir vite sans réfléchir et le "relâchement" arrive relativement tôt (enfin c'est ma façon de vivre le truc!).
En compet', j'ai le mental "facile", l'imagerie imaginaire se met en route: la fierté de mes filles à l'arrivée, la bonne bière ou le resto sympa qui suivront suffisent à faire avancer mes jambes!
Mais à l'entrainement, sur ce genre de séance, c'est autre chose surtout quand la seule satisfaction à mon retour sera un en-cas avalé vite fait avant de retourner au travail....
Je sais que pour progresser il faut que j'apprenne à me "faire mal" car quand le mental n'est pas là, bien sûr le corps ne suit pas, l'impression d'avoir un poids à chaque jambes et du coup l'impression d'être un boulet pour ceux avec qui je cours.
Et au final, une fin de séance en étant déçue et sans avoir éprouver du plaisir en courant...
Et vous c'est quoi vos astuces pour survivre à ces séances et pour vous forger un mental de winner?
Je me répète en boucle ; entraînement difficile = course facile.
RépondreSupprimerMerci!je vais garder ce mantra dans un coin de ma tête!
SupprimerDéjà, j'ai envie de dire ne pars pas trop vite dans l'inconnu, adaptes ta séance en "mixant" du court et du long avant de ne faire que du long (d'où ma proposition de faire des pyramides). Ensuite, si tu peux faire tes séances à plusieurs, c'est plus facile et motivant. Il m'arrive régulièrement de faire mes séances de piste avec Lucas Humbert (que Cyril doit connaître) et malgré son niveau bien au-dessus du mien, il arrive en disant "tu fais quoi aujourd'hui? parce que moi, je fais comme toi!" et du coup, ça me booste bien, j'essaie de le suivre...
RépondreSupprimerMerci ;)
SupprimerPour ces séance là je pars jamais seule, Cyril me sert de lièvre, mais là c'était vraiment trop dur pour moi après c'était peut etre un jour sans je réessayerai plus tard (quand je serais grande :p)
Dans ce cas, je pense à l'objectif que je me suis fixé et je me dis que c'est un mal nécessaire !
RépondreSupprimerPar contre, pour moi, les 30/30 sont pas forcément moins pire que des 1000m, quand le coeur n'a pas le temps de redescendre qu'il faut déjà repartir, c'est horrible !
c'est vrai que pour l'instant j'ai du mal à avoir mon objectif en point de mire...
Supprimerj'aime bien le côté "bourrin" du 30/30 mais c'est dur quand même!
J'ai un adage que j'applique souvent : ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort alors tu vas tout déchirer en course c'est sûr!
RépondreSupprimerMerci!!
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